Chérie, tu m’imagines députée, tailleur strict sur tapis rouge du Sénat ? Avoue, rien que l’idée te fait sourire. Parce qu’être une femme glamour, audacieuse, celle qui parle vrai sans chichis, c’est déjà tout un art. Alors la politique, franchement, ce n’est pas mon terrain de jeu favori. Viens, on ouvre grand le rideau sur les vraies raisons pour lesquelles jamais, au grand jamais, je ne pourrais plonger mes talons dans cet univers bien trop sérieux et souvent déprimant. Laisse-moi t’expliquer pourquoi me lancer en politique serait la pire… ou la plus fabuleusement scandaleuse des idées.
Mon désintérêt total pour la politique
Tu connais ce fameux regard vide quand tes copines commencent à parler du dernier débat parlementaire ? Voilà exactement ce qui se passe dès qu’il s’agit de politique chez moi. C’est simple : j’ai un véritable désintérêt pour la politique. Tout ce cirque d’hommes en costumes mal taillés, qui s’agitent pour donner l’illusion qu’ils font avancer le monde, ça ne me fait ni chaud ni froid. Mon univers à moi, il est fait d’émotions, de passion, certainement pas de promesses électorales creuses ou de séances interminables à discuter d’amendements invisibles pour le commun des mortels.
Sérieusement, darling, tu as déjà essayé de t’enthousiasmer pour une commission sur la fiscalité locale ? Moi, ça me provoque uniquement des bâillements scandaleux. Je préfère mille fois me passionner pour le prochain film sulfureux à aller voir, le nouveau rouge à lèvres à tester ou cette robe époustouflante qui va faire tourner toutes les têtes en soirée. Bref, no way pour la politique : je laisse ça aux pros du costard cravate et de la conversation soporifique.
Manque de compétence et de connaissances politiques
Faut être honnête, la politique demande quand même un petit bagage intellectuel solide. Et là, autant t’avouer que la constitution, les lois, les institutions… ce n’est franchement pas ma came. J’ai un manque de compétence ou de connaissances politiques qui claque comme un talon aiguille cassé en pleine rue. Tu vois le tableau : arriver face caméra pour un débat et me planter lamentablement sur une réforme majeure devant toute la France, un pur cauchemar tendance flop monumental.
Ça ne veut pas dire qu’on n’est pas intelligentes ou curieuses, mais franchement, apprendre par cœur tous ces dossiers indigestes me donnerait juste envie d’aller boire un verre direct pour oublier. Pas question de briller dans un domaine qui m’inspire si peu : il y a assez de gens calés pour occuper la scène politique, non ?
L’univers suffocant du système politique
Ah, le fameux système politique ! Rien que d’en entendre parler, j’ai une envie irrépressible de fuir. Franchement, ce côté réseau fermé, où faut jouer des coudes, flatter les égos fatigués et accepter de passer sa vie en compromis et jeux de pouvoir insupportables… C’est tellement contre-nature pour quelqu’un qui aime appeler un chat “un chat” (et aussi choisir le plus beau félin du salon, c’est évident).
Sans oublier les mensonges et le manque de transparence omniprésents. Sérieusement, comment rester authentique dans un environnement qui encourage à dissimuler, travestir, manipuler ? Excuse-moi mais, quitte à provoquer, je préfère cent fois être honnête quitte à choquer, plutôt que jouer la pièce en mode faux semblants. L’hypocrisie institutionnalisée, très peu pour moi. Où passe le fun, le vrai contact avec les gens, la légèreté glamour ? Perdu dans les couloirs gris du pouvoir, baby…
La violence et l’agressivité du monde politique
Entre nous, la violence et l’agressivité du monde politique, merci bien ! Les débats hurlés, les petites phrases assassines, l’humiliation publique parce que tu as dit une bêtise… Non, vraiment, rentrer le soir avec l’impression d’avoir traversé une tempête, ce n’est pas le style de drama dont je raffole. Autant avoir le dernier mot autour d’un mojito avec mes girls, c’est excitant, autant affronter les crocs acérés d’adversaires prêts à tout pour m’écraser, non merci.
L’épuisement émotionnel ou mental qui accompagne cette vie sous tension permanente me tente autant qu’une semaine sans mascara. Il faudrait vraiment aimer se faire du mal pour rêver de ce genre de pression extrême. Bleu nuit sous les yeux, confiance en soi en berne après chaque bataille acharnée : qui trouve ça glamour franchement ?
L’absence de motivation et d’intérêt personnel
Tu sens pointer ici mon absence totale de motivation ou d’intérêt personnel ? Me lever le matin avec l’objectif de défendre une idée qui n’est pas totalement la mienne, c’est au-dessus de mes forces. Pour donner le meilleur de moi-même, il me faut vibrer, sentir que ce que je fais me nourrit et me plaît. La politique, clairement, ça ressemble à un job alimentaire pour ceux qui n’ont plus aucun rêve un peu fou à poursuivre.
Je préfère consacrer mon énergie à inspirer celles qui veulent oser vivre librement, assumer leur corps, leurs envies, leur folie douce et surtout leur féminité triomphante. Faire semblant ou se forcer ? Jamais. Si je suis cash dans la vie, tu peux être sûre que je garderai mes convictions, même si ça doit faire grincer des dents. Loin des calculs politiciens et de la langue de bois, chaque jour devient alors beaucoup plus savoureux.
Difficulté à dialoguer ou à débattre sereinement
Impossible de passer à côté de ce point délicieux : la difficulté à dialoguer ou à débattre posément avec des gens formatés pour toujours avoir raison. Ce sport national du clash permanent me donne envie de zapper à la moindre occasion. Mon truc à moi, c’est papoter joyeusement entre amies, rire à gorge déployée autour d’un bon plat, pas monter au créneau à chaque phrase prononcée.
Et puis, soyons honnêtes, maîtriser l’art oratoire pour retourner une salle hostile, ce n’est pas donné à tout le monde ! Parfois, quand j’hésite ou que je doute, le manque de confiance en soi n’est jamais bien loin. Se retrouver perdue devant la caméra, bafouiller devant une assemblée surexcitée : darling, c’est tout sauf sexy. Mieux vaut donc laisser la joute verbale aux pros de la réplique mordante, histoire de préserver mon éclat naturel.
Osez commenter, darling